20 novembre 2009
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10:25

Les constellations
Par dessus la terre, dans le ciel de minuit,
les étoiles tissent leur toile,
elles apparaissent tour à tour dans cette belle nuit,
il n' y a en cet instant aucun voile,
Mon amie Cassiopée,
a mis sa tenue de soirée,
elle vient me montrer sa beauté,
les bras ouverts en double V,
Toi, mon amie la grande ourse,
tu m'accueilles dans ton poëlon,
tu m'emmènes faire une course,
jusqu'au bout de l'horizon,
Toi aussi petite ourse,
ta cuvette étant moins grande,
tu me montres au bout de ton manche,
la plus belle, la plus brillante,
Lorsque je prendrai la direction du Groënland,
là-bas où il fait si froid,
tu guideras, toi la brillante, chacun de mes pas,
tu me feras marcher tout droit,
je te suivrai, toi "mon étoile polaire",
vers ce pays rempli de mystère.
Si je veux marcher vers Compostelle,
je suivrai seulement la voie lactée,
elle est tellement belle,
de ses milliards d'étoiles, composée,
Je ne t'oublie pas mon cher ami Orion,
je sais que tu ne te trouves pas encore dans ce fond,
car tu reviendras mon cher compagnon,
après la belle saison.
Jaly

Par dessus la terre, dans le ciel de minuit,
les étoiles tissent leur toile,
elles apparaissent tour à tour dans cette belle nuit,
il n' y a en cet instant aucun voile,
Mon amie Cassiopée,
a mis sa tenue de soirée,
elle vient me montrer sa beauté,
les bras ouverts en double V,
Toi, mon amie la grande ourse,
tu m'accueilles dans ton poëlon,
tu m'emmènes faire une course,
jusqu'au bout de l'horizon,
Toi aussi petite ourse,
ta cuvette étant moins grande,
tu me montres au bout de ton manche,
la plus belle, la plus brillante,
Lorsque je prendrai la direction du Groënland,
là-bas où il fait si froid,
tu guideras, toi la brillante, chacun de mes pas,
tu me feras marcher tout droit,
je te suivrai, toi "mon étoile polaire",
vers ce pays rempli de mystère.
Si je veux marcher vers Compostelle,
je suivrai seulement la voie lactée,
elle est tellement belle,
de ses milliards d'étoiles, composée,
Je ne t'oublie pas mon cher ami Orion,
je sais que tu ne te trouves pas encore dans ce fond,
car tu reviendras mon cher compagnon,
après la belle saison.
Jaly
